Ce n’est pas nouveau, les entreprises du numérique s’intéressent de plus en plus au marché de l’automobile. Cela fait des années que nous avons des rumeurs concernant une possible voiture développée par Apple. Il semblerait que ce soit, Sony, le géant du numérique nippon, qui serait le plus proche de sortir une voiture sur le marché.

L’entreprise s’est associée au constructeur automobile de même nationalité, Honda, pour sortir un véhicule ultra-connecté. Patience toutefois, si les pré-commandes seront disponibles en 2025, les premières livraisons quant à elles débuteront au début de l’année 2026. Si les deux entreprises refusent de donner des détails sur les prix ou encore sur la plateforme de cette prochaine voiture, ils ont indiqué que cette dernière sera 100 % électrique et censée fonctionner comme un smartphone.

Galerie: Sony Vision-S 02 SUV Concept

Sony fournira tout le système logiciel de la voiture ainsi que des capteurs et des technologies pour un système de conduite autonome de niveau 3. Sans doute que la conduite autonome servira aux conducteurs et passagers pour profiter du nombre impressionnant d’offre que peut proposer l’écosystème de Sony.

Il ne serait pas impossible d’imaginer de pouvoir avoir tout le système PlayStation Plus disponible dans sa voiture pour pouvoir jouer aux jeux vidéo pendant que cette dernière vous emmène à votre destination. Ou encore, d'avoir la possibilité de regarder un film sur la plateforme de streaming de contenu de Sony quand votre voiture sera en train de se charger.

Pour développer des voitures en commun, Sony et Honda ont créé une société baptisée sobrement Sony Honda Mobility. Leur premier véhicule qui se veut être un “smartphone roulant” sera dans un premier temps disponible pour le marché Japonais et Nord-Américain.

L’entreprise a annoncé que ce véhicule sera assemblé dans une usine Honda de l’Ohio aux États-Unis. Une décision qui fait suite, peut-être, à la loi sur la réduction de l'inflation (IRA) des États-Unis ou “prime Biden”. Pour rappel, l'IRA ne donne accès au bonus de 7 500 dollars pour les voitures électriques, que si elles sont assemblées en Amérique du Nord et si leurs batteries sont fabriquées à partir de minéraux extraits aux États-Unis ou dans des pays avec lesquels Washington a conclu un accord de libre-échange.